Touadéra a bradé la République aux Chinois et aux Russes et a trahi le peuple centrafricain

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Il était considéré par les Centrafricains d’en bas, ceux d’en-dessous, les désœuvrés et les laissés-pour comptes comme étant l’homme providentiel qui sortirait la Centrafrique de l’ornière. Pour certains, il incarnait l’espoir. Pour d’autres, il était la voix la plus pittoresque capable de réconcilier les Centrafricains entre eux et avec la démocratie. Pour d’autres encore, il était la seule personnalité qui avait les coudées assez franches pour transformer profondément la Centrafrique. Il , c’est le Président Faustin Archange TOUADERA.

Diantre ! La Centrafrique contemporaine est depuis l’accession à la magistrature suprême de TOUADERA, abonnée à un festival de passions tristes telles que définies par le Philosophe Baruch SPINOZA :  » La trahison, la haine, la crainte, le désespoir, la division, la honte et le pire ». A bride abattue, le président FAT ,que d’aucuns assimilaient à un tigre en papier dont personne ne calculait,parvint par opposer les Centrafricains entre eux, créer un sentiment anti-français grâce à l’appui indéfectible et inéluctable des mercenaires en Communication du Cameroun adoubés de ses casseurs d’assiettes, museler les leaders politiques en général et ceux d’opposition en particulier.

Dès ses premières heures au pouvoir, FAT signe plus d’une dizaine de contrats miniers aux investisseurs étrangers sans pour autant faire allusion à l’article 60 de la Constitution. Plus tard, il consultera l’Assemblée Nationale pour procéder à leurs régularisations à l’instar d’une lettre à la poste.Tout se passe comme si, FAT considère l’Assemblée Nationale comme une boîte d’enregistrement. Sans ambages, il signe au fur et à mesure de nombreux contrats miniers aux investisseurs Russes, Libanais, Israéliens et Chinois sans pour autant recueillir l’aval du parlement national. Comme si cela ne suffisait pas, il octroie dorénavant des contrats d’exploitation artisanale aux investisseurs étrangers en lieu et place d’une convention requise par les textes statutaires. Là où bât blesse, ces contrats sont libellés dès l’abord comme étant des contrats d’exploration ( De recherche) alors que dans la zone ciblée, les investisseurs procèdent à l’exploitation sans coup férir.

En vérité, ces contrats cachent une astuce d’exploitation derrière les données GPS qui figurent sur la cartographie de la zone minière. Vous comprendrez aisément pourquoi la population de Yaloké s’était insurgée  contre les investisseurs Chinois qui exploitaient le sous-sol de la localité alors qu’ils ne disposaient que d’un permis de recherche. Les exemples sont légion. L’Assemblée Nationale ,qui est censée jouer un rôle de contrôle , est minée par des incartades internes. FAT brise l’espoir de tout un peuple par le truchement de son intérêt grégaire et égoïste.

C’est pour mettre un terme aux ennuis actuels provoqués par les méchantes trahisons du système en place que le service de traumatologie politique publie quelques pièces à conviction pour attester la véracité de nos propos. D’autres articles y compris des preuves irréfutables suivront celui-ci.

RJPM

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