Le Quotidien de Bangui emboîte le pas au journal « Letsunami.net » et confirme l’annonce d’une transition politique en cours en Centrafrique

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Faute de fiabilité et d’efficacité, une transition serait en cours de préparation d’ici 2021.

Vendredi 27 Septembre 2019

Bangui, 27 septembre (LQB). C’est trop tôt d’affirmer quoi que ce soit. En d’autres termes, le temps ne jouerait pas en faveur de l’actuel locataire du palais de la Renaissance mister Touadéra. Ah oui ! Certainement d’aucuns se posent des questions de savoir le pourquoi nous avons utilisé le conditionnel. Suivez seulement notre regard…


Faute de fiabilité et d'efficacité, une transition serait en cours de préparation d'ici 2021.
Des infirmations dignes de foi font état de ce que le génie de Damara, Faustin Archange Touadéra, président de la République de nulles parts ailleurs, traverserait des moments les plus difficiles de son pouvoir. En cause !
Les coulisses de l’Elysée (à Partis) et Oyio (Ouesso) dégagent les odeurs d’une fin d’un régime, qui a montré ses limites politiquement.
A Paris en France, où l’homme a été reçu sur le tapis rouge par son homologue français, Emmanuel, il aurait eu bon nombre de dossiers explosifs notamment la problématique du relèvement, la présence russe, ainsi que la mise en œuvre de l’accord de Khartoum qui souffrirait de sabotage de certains de ses géniteurs et le processus électoral présentant des anomalies présageant un possible report pour ne citer que ceux-ci au centre d’un échange de 50 minutes, le 05 du mois en cours.  Un échange dosé d’une ambiance cordiale voire amicale, mais. « Tout sourire aiguise coteau », disait William Shakespeare, un penseur anglais du 18è siècle.
A Ohio, un autre Damara de Congo Brazza, où notre Touadéra national été reçu en privé au domicile familial de son homologue Sassou Nguesso, il a été question que l’homme de boulot français fasse le point de ce qui s’était dit entre lui et son homologue Macron sur la question de différentes pistes de solutions pouvant apporter un plus au chapelet des problèmes auxquels notre patrie fait face. Entre autres solution, la convocation d’une rencontre avec les forces vives de la nation à défaut monsieur Touadéra doit démissionner de gré ou de force.
Justement, c’est cette dernière proposition qu’aurait fait le génie de Damara. Pourtant, les griefs portés à son attention étaient tellement clairs et frappant que Touadéra, a dû mal à digérer la sommation du porte parole du président Macron, le général Sassou Nguesso, président de la République du Congo Brazza. La suite, c’est ce que les proches de Touadéra ne veulent pas entendre de cette oreille en faisant passer le pauvre Meckassoua pour le mouton noir de cité. Alors, que c’est connu de tout le monde que notre président est le collabo n°1 des criminels de guerre qui font la pluie et le beau temps dans la crise que notre pays a connue depuis des lustres en massacrant nuit et jour nos compatriotes de Bangui et de provinces. Pour qui, il a prêté serment pour les protéger ainsi que l’intégralité de notre territoire. Du coup, son aptitude ’ notoire refait surface et en sus de sa nonchalance.
Substantiellement, le pilotage à vu, le manque de vision, la versatilité politique, et l’incompétence rampante et criante  de notre président Touadéra soutenu par certains mafieux et bras cassés de notre cité seraient la source d’inquiétude du président Français, Emmanuel Macron, qui aurait convaincu son hôte Denis Sasou Nguessou, reçu deux jours avant Touadéra, de proposer à Touadéra, ces deux formules; visant l’aider pour une sortie par la grande porte de l’histoire. Car, il y va de la stabilité de la Sous-région.
Certaines indiscrétions plaideraient pour que la communauté internationale apuie sans vergogne le président Touadéra qui ,n’est qu’à un an et deux mois de la fin de son mandat. Justement, c’est à cette voix que les choses se convergent pour la mise en place d’une nouvelle transition après 2021. Pourvue que les courtisans du président Touadéra ne précipitent pas le bateau dans le précipice.
Mais, Touadéra n’ayant pas supporté les griefs, auraient écourtés brutalement sa mission à Brazzaville, prévue pour le forum ‘’investir en Afrique’’.
Bref ! C’est dire que l’avenir politique de notre président Touadéra, est hypothéqué, et il serait souhaitable qu’il agisse en toute responsabilité aux fins d’éviter le pire, si d’aventures  des propositions de sortie de crise lui auraient été faites par ses pairs, soient-ils. Sinon ! Qui dit mieux !

Landry Ulrich Ngéma Ngokpélé
Rédaction LQB

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