Spécial « coup d’état en Guinée – Equatoriale » : Dernières croustillantes révélations sur l’affaire

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De source proche de la Présidence de la République Centrafricaine, ce serait la fille à maman, Christelle Sapot, nommée par sa mère Catherine Samba-Panza juste avant de quitter ses fonctions de Chef d’État de la transition, Ambassadrice de la République Centrafricaine en Guinée Équatoriale et dont le maintien au poste pour des raisons extra-diplomatiques avait été imposé au Président « démocratiquement élu” Faustin Archange Touadera par son homologue équato-guinéen Teodoro Obiang Nguema Mbasoko qui aurait informé FAT de la colère noire qu’a piqué l’homme fort de la Guinée en apprenant que parmi les Hommes qui ont voulu renverser son pouvoir, se trouveraient des proches de Faustin Archange Touadera.

Dans sa colère, devant ses collaborateurs et quelques diplomates venus lui apporter leurs soutiens, le Président Obiang Nguema Mbasoko aurait déclaré que Touadera sait bien que c’est pas lui qui devait être à la tête de la République Centrafricaine et que pour des raisons de la Paix dans le Pays, ils ont convaincu Anicet Georges Dologuele d’accepter les résultats des élections qui ont été manipulés et si c’est ça la reconnaissance que Touadera lui réserve, il l’aura sur son chemin. Informé et pris de panique, Faustin Archange Touadera qui connait bien le poids politique de l’homme fort de la Guinée Équatoriale dans la sous région de l’Afrique Centrale, va supplier la Minusca pour le transporter avec sa délégation à Malabo où il va à son arrivée humilier la République Centrafricaine en se jetant à genoux devant le Président Obiang Nguema Mbasoko en l’appelant papa avant de se lancer dans des explications où il va déclarer qu’il n’était pas informé de cette tentative de coup d’État qui implique des acteurs centrafricains dont des proches d’un de ses Hommes de main Sani Yalo, et qu’il n’acceptera pas que ce dernier qui commence sérieusement à lui poser de problème, vient foutre en l’air les bonnes relations entre les deux Pays frères que sont la République Centrafricaine et la Guinée Équatoriale et qu’il mettra tout en œuvre dès son retour à Bangui pour que toute la lumière soit faite sur cette affaire de tentative de coup d’État en Guinée Équatoriale qui ne cesse de faire couler d’encre en République Centrafricaine.

Il est de notoriété publique en Centrafrique que les frères Yalo en leur tête leur aîné Sani, sont des truands de premier plan et criminels économiques et tout ça, Faustin Archange Touadera, Premier ministre de François Bozizé pendant 5 ans le savait, avant de continuer de leurs faire confiance et de les compter parmi ses Hommes les plus écoutés. Touadera doit comprendre qu’on ne dirige pas un Pays en crise avec autour de soi une forêt de malhonnêtes et repris de justice.

Nous allons revenir dans un prochain post, pour parler de l’implication effective du tristement célèbre Sani Yalo dans la préparation de ce putsch manqué contre l’un des dignes fils d’Afrique qui fait honneur à son Pays et à son peuple, le nommé Teodoro Obiang Nguema Mbasoko, Président de la Guinée Équatoriale.

Etienne Mbakoko

Le président équato-guinéen est attendu au Cameroun

L’information a été rendue publique par la radio allemande Deutsche Welle , annonçant la visite imminente du président Equato-guinéen Teodoro Obiang Nguema Mbasogo à #Yaoundé . Selon cette dernière, le chef de l’Etat Equato-guinéen voudrait remercier son homologue camerounais, Paul #Biya, dont les services de sécurité ont réussi à déjouer un coup d’état qui se préparait contre lui. En effet Le 27 décembre dernier, trente mercenaires de nationalité tchadienne et centrafricaine ont été interpellés dans la région du Sud du #Cameroun, en possession de 200 cagoules et de la somme de 1.910.000 francs CFA chacun. Quelques temps après, la voiture d’un général tchadien en fuite a été saisie avec, à bord, cinq lance-roquettes, 1 MAG (une mitrailleuse de guerre) et 2.750 munitions, tous calibres confondus. Selon toute vraisemblance, ces individus avaient pour projet de passer la frontière équato-guinéenne à #KyéOssi, pour soutenir un putsch contre le président Teodoro Obiang #NguemaMbasogo. Le 8 décembre dernier, le quotidien Le messager a rapporté que le général tchadien Mahamat Kodo Bani, cerveau présumé de cette opération, avait été interpellé à Douala.

Par Yahaya Idrisse

Me MATHIAS BARTHÉLÉMY MOROUBA ET SIMPLICE KODÉGUÉ N’ARRIVENT ILS PAS TROP TARD À YAOUNDÉ ?

Alors qu’on apprend cet après-midi du samedi 13 janvier 2018, d’indiscrétions sécuritaires Camerounaises, l’extradition de Dada #Yalo et ses compagnons d’infortune sur #Malabo, en Guinée Équatoriale, l’avocat centrafricain spécialiste des droits de l’homme, Me Mathias Barthélémy #Morouba, commis par la famille Yalo est arrivé à Yaoundé pour tenter de maîtriser le dossier impliquant son nouveau client.  Il en est de même pour Guy Simplice Kodégué, ancien ministre de Michel #Djotodia, qui prête aussi ses services à la famille.

Guy Simplice #Kodégué prétend avoir de fortes relations à la Présidence Camerounaise qui pourraient l’aider à decider du rapatriement du présumé criminel Dada Yalo.

Hélas les deux personnalités arriveraient trop tard, après Hawa Yalo, la grande sœur, qui n’a pu rencontrer son frère.

A suivre…

Henri Grothe

LE MINISTRE ÉQUATO-GUINÉEN DE LA SÉCURITÉ NATIONALE À BANGUI

Arrivé ce matin à 09:00 locales, à l’aéroport #BanguiMPoko, à bord d’un Embraer 145 au logo de la Guinée-Equatoriale, le ministre de la Sécurité nationale, Nicolas #ObamaNchama a été accueilli par ses homologues Centrafricains de la Défense nationale, Mme Marie-Noëlle #Koyara, et de la Sécurité publique, Général Henri #WanzetLinguissara.

Trois jours après le déplacement à #Malobo du mardi dernier, 09 janvier 2018, du président Faustin Archange Touadera, la venue à #Bangui du ministre Équato-Guinéen révèle d’une importance certaine. À n’en point douter, elle serait destinée à activer la délicate coopération entre les deux pays, dans cet épineux dossier de coup-d’État déjoué.

Outre les noms des Centrafricains cités par les sources sécuritaires Camerounaises et d’autres galvaudés par #RadioKéké, la rumeur Banguissoise, la capitale Centrafricaine aurait servi non seulement de base arrière aux opposants politiques Équato-Guinéens dans le montage du complot déjoué par Malabo mais aussi de lieu de recrutements de mercenaires Centrafricains, à la nationalité certes contestée par Bangui, qui promet faire la lumière.

Très attendue pour la clarification du volet centrafricain de ce dossier, car d’autres mercenaires de nationalité sous régionale étant citées, la collaboration judiciaire et sécuritaire de Bangui serait donc exigée par Malabo, d’où cette visite de travail du ministre Équato-Guinéen dont l’importance s’impose. Les symboles présidentiels étant plus qu’expressifs.

C’est le président Teodoro Obiang #NguémaMbasogo lui-même qui se déplace, représenté par son ministre de la Sécurité nationale. Sur le tarmac de Bangui-M’Poko, l’avion présidentiel, au logo officiel du Qatar Africain, venu directement de Malabo, attendant le ministre Nicolas Obama Nchama. Symbole digne d’un Chef d’État.

Un Communiqué conjoint, si publié, nous fixerait sur l’ensemble de nos interrogations et celles des observateurs Centrafricains.

À suivre…

Henri Grothe

Guinée équatoriale : la tentative de putsch était organisée en France

S’il existe un flou total sur la tentative de putsch en Guinée équatoriale, on connait peut-être d’où est parti ce coup. Agapito Mba Mokuy, le ministre équato-guinéen des Affaires étrangères a déclaré mercredi 10 janvier, lors d’une conférence de presse, que le coup d’État avorté contre Théodore Nguema Obiang a été préparé en France.

Guinée équatoriale : Pour Agapito Mba Mokuy, le coup était préparé en France

Agapito Mba Mokuy, ministre des Affaires étrangères de la Guinée équatoriale n’est pas allé par quatre chemins pour indiquer le nom du pays où le coup d’État contre le président Obiang Nguema, déjoué fin décembre 2017, a été organisé. Hier mercredi, au cours d’une conférence de presse, le chef de la diplomatie équato-guinéenne a fait savoir que la stratégie du putsch manqué a été organisée sur le territoire français, sans grande précision.

  1. Mba Mokuy a également signifié que la France n’a rien à avoir avec cette tentative de pronunciamiento même si elle a été préparée sur son territoire. Il a aussi fait savoir que Malabo va coopérer avec le pays d’Emmanuel Macron lorsqu’il sera en possession de plus de renseignements.

Pour rappel, le mercredi 03 janvier, le ministre équato-guinéen de la Sécurité, Nicolas Obama Nchama, avait déclaré dans un communiqué lu à la radio gouvernementale qu’un coup d’État contre le président avait échoué. D’après lui, celui-ci était prévu pour le 24 décembre et projeté par des mercenaires tchadiens, soudanais et centrafricains. Le président Théodore Nguema qui était dans son palais à Mongomo pour les fêtes de fin d’année y a échappé grâce à la vigilance des services de renseignement de son pays.

Lire la suite sur : https://www.afrique-sur7.fr/382099-guinee-equatoriale-la-tentative-de-putsch-organisee-en-france-revele-le-ministre-agapito-mba-mokuy

Source : JA

C’est le frère de Sani, Kiki Yalo qui réside à Angers en France (celui qu’il a placé au conseil economique et social), qui a procédé au recrutement dans le rang des FACA pour le coup en Guinée Equatoriale voilà pourquoi Malabo et Paris disent que le coup a été préparé en France. Ces informations circulaient dans Bangui dans le cercle des FACA. Il a été mandaté par Dada Yalo dans le coup au niveau depuis la France d’où est parti le complot via l’opposition équato-guinéenne en exil. Si les enquêteurs poussent bien, certains FACA pourraient témoigner… Sani Yalo qui était donc bien au courant par ses frères était d’ailleurs à Paris en Décembre dernier après une soi-disant conférence en Angleterre …

Thierry Simbi

Coup d’Etat» en Guinée équatoriale: les arrestations de Tchadiens se poursuivent

Les arrestations de ressortissants tchadiens se poursuivent en Guinée équatoriale, deux semaines après que les autorités de Malabo ont affirmé avoir déjoué une tentative de coup d’Etat. Une quarantaine de mercenaires avaient été interceptés au Cameroun, soupçonnés de fomenter un coup d’Etat en direction de Malabo. Parmi eux, des Tchadiens. Peu après, une soixantaine de commerçants tchadiens installés en Guinée équatoriale ont été arrêtés. Le ministre des Affaires étrangères tchadien, Mahamat Zen Cherif s’est alors rapidement déplacé à Malabo pour obtenir leur libération. Mais la Guinée équatoriale ne l’entend pas de cette oreille.

« Les Tchadiens innocents devaient être libérés immédiatement, mais à notre plus grande surprise il y a eu de nouvelles arrestations » confie à RFI ce jeudi Mahamat Zen Cherif, ministre des Affaires étrangères tchadien. En tout, une quarantaine de ressortissants tchadiens sont ainsi détenus à Malabo et dans les principales villes du pays.

La semaine dernière, les autorités équato-guinéennes ont affirmé que les Tchadiens arrêtés étaient en situation irrégulière. Un argument qui convainc peu Ndjamena. La Guinée équatoriale fait partie de la CEMAC, la Communauté économique et monétaire d’Afrique centrale, où règne la libre-circulation des personnes.

Ce jeudi, le ministre des Affaires étrangères équato-guinéen, Agapito Mba-Mapuy, a expliqué à RFI que ces arrestations font partie de l’enquête sur la tentative de coup d’Etat. « On essaie de voir s’il ne reste pas des terroristes sur notre territoire » a-t-il déclaré.

Une situation qui laisse perplexe à Ndjamena. « Il ne faut pas tout confondre, a confié Mahamat Zen Cherif. D’autant que le Tchad a immédiatement collaboré avec Malabo » a-t-il conclu.

Le ministre a envoyé il y a deux jours une note à son homologue équato-guinéen et entend régler au plus vite cette question par la voie diplomatique.

Source : RFI

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