Révélation : Affaire ICS / CCS : Touadéra craque, décide le matin, se contredit à midi et se déjuge le soir !

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Le journal « La Voix des Sans – Voix » n’est pas passé par quatre chemins pour attirer avec la force des mots, et non pas par la force des armes, dans l’une de ses dernières parutions, le risque que courrait le président Touadéra, démocratiquement et massivement élu par le peuple sur la base de ses mielleuses promesses de la politique de la rupture, du changement et de l’alternance générationnelle, si jamais il venait à contester publiquement la convention de partenariat public – privé, signé entre l’Etat centrafricain, dûment représenté par M. Henri Marie Dondra, ministre des finances et du budget, ci – devant désigné autorité contractante et la société centrafricaine « Centrafrique Cartes Systèmes » ou CCS, filiale de la société ivoirienne « Ivoire Cartes Systèmes ou ICS.

Une convention de partenariat dont les termes  ont confié à cette société de droit centrafricain la gestion des documents administratifs et autres titres de l’Etat, tels que carte nationale d’identité, carte de séjour, certificat de nationalité, permis de conduire, pour ne citer que ceux – là, pour leur caractère hautement sensible et stratégique, en toute indépendance et en toute responsabilité, au nom du peuple centrafricain. Une convention de partenariat dont la  procédure a néanmoins fait l’objet d’une vive dénonciation par le directeur de publication du journal « La Fraternité » dans un article intitulé :« Combien Faustin Archange Touadéra et Henri Marie Dondra ont reçu des mains de CCS et ICS pour leur octroyer le marché des cartes d’identité nationale en violation de la constitution ? » sous le numéro 781 du lundi 27 mars 2017.

Malheureusement, cette dénonciation courageuse, républicaine et citoyenne a valu à son auteur, M. Bienvenu Doumta, une arrestation arbitraire, et trois (3) jours de séquestration et de détention dans les geôles de l’OCRB, à la demande de M. Henri Marie Dondra, comme s’il était un bandit, un égorgeur, un criminel, un liquidateur de la République et un assassin de la pire espèce, à l’exemple d’un certain Ali Darass, d’un certain Nourreldine Adam, d’un certain Mahamat Al – Katim, d’un certain Sidiki, d’un certain Abdoulaye Hissène, etc…

 Mais, alors que la majorité des centrafricains et tous les combattants de la liberté et de la démocratie pensaient que l’auteur dudit article à caractère plus ou moins diffamatoire et calomniateur avait tort, grande doit être aujourd’hui leur surprise d’entendre dire que non seulement le président Touadéra aurait totalement donné raison au directeur de publication du journal « La Fraternité », en dépit de la faiblesse du contenu de son argumentaire, et par conséquent son bourreau l’aurait envoyé gratuitement en prison, mais surtout serait sur le point, comme il vous a été annoncé, sous de très fortes pressions de la part de ses amis et connaissances, de donner par tous les moyens la gestion de ces documents aux puissants groupes de lobbies qui les avaient gérés peu avant la période de la transition de manière opaque, clientéliste, familiale et mercantiliste et qui les avaient distribués à tout venant et à des sujets étrangers.

En effet, l’autiste mathématicien de Boy –Rabé aurait reçu le directeur général de la société « Centrafrique Cartes Systèmes », à sa demande, il y a quelques jours, chez lui à sa résidence. Selon des informations dignes de foi en notre possession, émanant des sources très proches de la présidence de la République, la rencontre se serait très mal déroulée et son hôte aurait tout simplement pris la sage décision de partir. De cette rencontre d’ordre purement communicationnel et selon de gentilles indiscrétions, il ressort que Touadéra, en sa qualité de président de la République,  serait décidé à remettre en cause, coûte que coûte, selon ses propres termes, toute la procédure qui a été suivie jusqu’à la signature de la convention sus évoquée.

Comme il fallait s’y attendre, des rumeurs persistantes, de sources constantes et concordantes, feraient état, au moment où ces lignes sont en train d’être tracées, de ce qu’un département ministériel parmi les dix (10) départements ministériels signataires de la convention, aurait pris la décision de se désolidariser de cet engagement global, évidemment sur instructions de l’homme de Boy – Rabé. Dans quel but et pour quelles actions à venir ? Serait – ce pour dénoncer ladite convention comme annoncée par le président Touadéra lui – même ? Serait – ce pour procéder à la publication d’un avis à manifestation d’intérêt ? Le journal « La Voix des Sans – Voix » vous en dira un peu plus dans les heures à venir. 

Mais, d’ores et déjà les combattants de la liberté et de la démocratie, au regard des informations qui circulent ça et là, ne peuvent qu’avoir le courage de reconnaitre sans aucun risque de se tromper que dans cette affaire Touadéra en tant que président de la République aurait déjà craqué pour ses propres intérêts, serait en train de se déjuger et de sacrifier purement et simplement la société citoyenne CCS et toutes les familles de ces 243 jeunes désœuvrés sur le point d’être embauchés. Si le ministre du département soupçonné venait comme cela se murmure et se susurre à passer à l’action et à poser un acte de nature à remettre en cause ladite convention, tout ou une partie, alors non seulement Touadéra donnerait l’opportunité à ses détracteurs d’être réconfortés dans leur thèse selon laquelle il ne serait pas un homme d’Etat, mais surtout rapporterait les preuves irréfragables de son incompétence personnelle notoire et de celle de son premier ministre et de tous les membres de son gouvernement. Des preuves qui du coup le discréditeraient aux yeux du peuple, de nouveaux et potentiels investisseurs à venir, et de la communauté internationale et qui l’obligeraient à renvoyer M. Sarandji et tous ses ministres au quartier et dans leurs familles respectives, d’une part, et  à remplir les conditions pour être poursuivi par le peuple centrafricain, à travers ses représentants siégeant à l’assemblée nationale, devant la haute cour de justice pour haute trahison. En politique, cela s’appelle une bourde, un suicide politique et se faire hara – kiri ; car il se serait déjugé et aurait par-là fait scier la branche d’arbre sur laquelle tous étaient assis.

En effet, pour sa propre gouverne, celle des membres de son gouvernement et celle de la communauté internationale, et pour l’information du peuple centrafricain qui l’a démocratiquement et massivement élu de l’est à l’ouest du sud au nord et qui lui a confié par ce choix la gestion de sa destinée, selon des révélations en notre possession suite à d’âpres et minutieuses investigations et après exploitation de tous les éléments constitutifs de ce dossier dont le journal « La Voix des Sans – Voix» se fera l’honneur dans les heures qui suivent de les rendre publics comme preuves irréfragables, incontestables et incontestés de cette analyse, la société « Centrafrique Cartes Systèmes » ou CCS, filiale de la société ivoirienne « Ivoire Cartes Systèmes » ou ICS, n’est pas arrivée par hasard à ce niveau de responsabilité.

Cette aventure de CCS a démarré au lendemain de la notification d’une lettre d’invitation, datée du 13 juin 2016, du premier ministre, chef du gouvernement, M. Simplice Matthieu Sarandji à la présidente directrice générale de la société ivoirienne « Ivoire Cartes Systèmes » ou ICS, en réponse à la présentation de ses offres de service au gouvernement centrafricain et aux ministres en charge de la gestion de certains départements. Ces offres étaient tout simplement relatives aux solutions technologiques de sécurisation des documents administratifs, d’identification et de traçabilité des biens et des personnes, en vue de la modernisation et de la dynamisation de l’administration centrafricaine. Suivront alors des rencontres techniques entre les deux (2) parties, des échanges de correspondances, des discussions avec les différents départements ministériels, des notes de présentation en conseils de cabinet et en conseils de ministres, des notifications des décisions prises en conseils des ministres, la notification de l’avis de non objection de la direction générale des marchés publics, la signature de la convention le 22 septembre 2016 entre les deux (2) parties contractantes et enfin la rencontre avec le président de la République, Faustin Archange Touadéra, le 25 octobre 2016.Une rencontre très chaleureuse au cours de laquelle l’homme de la politique de la rupture, du changement et de l’alternance générationnelle a demandé à la partie contractante, au nom du peuple centrafricain, vrai détenteur du  pouvoir souverain dont il n’est que délégataire alors qu’il veut toujours faire prévaloir le contraire, de démarrer les activités dans le meilleur délai.

A ce niveau du débat et au regard de tout ce qui précède, il est formellement  établi que la légalité en la matière et relative au respect des dispositions de la loi n°08.017 du 6 juin 2008, a été scrupuleusement observée par la procédure de la délégation de service public. Ce qui ne peut entacher d’irrégularité ladite convention. Et le président Touadéra n’y avait vu que toute la clarté puisqu’il ne s’y était pas opposé mais bien au contraire avait dit ouvertement au directeur général de CCS et à ses partenaires, le 25 octobre 2016, de commencer leurs activités. Alors pourquoi une telle démarche maintenant de sa part de nature à la remettre en cause ?

 En réalité, selon des informations dignes de foi en notre possession et de sources très proches des entrailles de la présidence de la République, au lendemain de sa brillantissime élection, Touadéra aurait promis monts et merveilles aux éternels et mafieux investisseurs qui ne cessent de se bousculer au portillon et qu’il ne cesse de recevoir tantôt chez lui à Boy – Rabé tantôt à la présidence de la République. Parmi les promesses les plus en vue, justement figurerait en première place et reviendrait régulièrement l’attribution du marché de la gestion de ces documents et autres titres de l’Etat. Et parmi ces farfelus investisseurs et foncièrement véreux, des puissants lobbies étrangers avec la complicité de certains hauts cadres de l’Etat et de certains compatriotes qui ont une part de responsabilité certaine dans la crise actuelle, à travers la gestion opaque et mercantiliste et la distribution à tout venant de ces documents administratifs et titres de l’Etat, qui veulent continuer de contrôler ce secteur d’activités à des fins personnelles et contraires aux intérêts de la République et du peuple centrafricain. Et parmi ces farfelus investisseurs et foncièrement véreux, notamment des lobbies libanais intervenant dans le transport aérien qui mettraient régulièrement à sa disposition leur avion pour ses multiples et innombrables missions de villégiature à l’étranger. C’est donc pour répondre à leur incessante et agaçante sollicitude et à leurs très fortes pressions venant de toutes parts qu’il aurait pris cette décision, comme cela aurait échappé de sa propre bouche lui – même.

 En outre, selon des informations dignes de foi en notre possession et de gentilles indiscrétions émanant du ministère des finances et du budget, M. Henri Marie Dondra, en mission de travail à Washington avec les partenaires des institutions financières internationales de Bretton Woods, à savoir FMI et BM, aurait été vertement tancé, à sa grande surprise, pour avoir signé au nom du gouvernement centrafricain, en ces temps difficiles où la République centrafricaine ne vit que grâce à leurs perfusions et aux subsides de la communauté internationale, un contrat léonin avec une société dénommée « Webb Fontaine ». Une société dont le véritable promoteur serait tout simplement un certain Faustin Archange Touadéra ! Touadéra, président de la République centrafricaine et entrepreneur ? Paniqué puisqu’il ne pensait pas que cette affaire ne devait pas être connue là-bas, ce qui prouve qu’il ignore tout des règles élémentaires de la gestion des finances publiques et du droit budgétaire et qu’il ne pensait pas avoir affaire avec des gendarmes des finances internationales, le directeur général de Fagace, devenu ministre des finances et du budget par effraction, aurait alors alerté Touadéra. L’homme à son tour panique et convoque un conseil des ministres, celui du jeudi 20 avril 2017. Et la décision tombe : il faut tout arrêter. Tout pour la fameuse société « Webb Fontaine ». Mais, en fin stratège, Touadéra aurait alors saisi cette brèche qui lui est ouverte par le FMI pour mettre en œuvre son projet machiavélique et personnel : déposséder la société CCS de la gestion par délégation de service public de ces documents et autres titres de l’Etat AU PROFIT DE SES AMIS.

Aux dernières nouvelles, une société israélienne dénommée NIP dont les managers auraient été condamnés pour escroquerie et faux et usage de faux et pour fraudes électorales en Afrique australe, aurait été positionnée pour l’acquisition de ce marché. Mais, ayant été vivement dénoncée pour moralité douteuse de ses dirigeants par la presse locale et Jeune Afrique, son promoteur en l’espèce, M. Touadéra aurait de nouveau changé le fusil d’épaule pour  faire appel à l’expertise de la société « Daniel Investissement » dont le manager s’appelle Jacques Eddlie déjà connu sous le régime du général François Bozizé et impliqué dans les affaires louches d’écoutes téléphoniques et de la reprise de la socatel et une forte délégation de lobbies israéliens qui séjourneraient à Bangui dans les jours qui suivront, c’est- à – dire du 25 au 30 avril 2017 et qui auraient déjà mandat de discuter de la gestion de ces documents et autres titres de l’Etat avec tous les départements ministériels. Et pourquoi ne pas commencer à concocter un plan machiavélique pour les élections de 2021 ?

Du coup, afin de maîtriser la base des données pour mieux s’en servir le moment venu, il était devenu plus qu’impératif à l’autiste mathématicien et manipulateur de Boy – Rabé de revenir sur l’attribution de la gestion de ces documents et autres titres de l’Etat par délégation de service public, sans pour autant préalablement dénoncé la convention signée avec CCS. Quelle escroquerie d’Etat ? Quelle honte pour la République ? Quel amateurisme éhonté au plus haut sommet de l’Etat ?

Ce qui signifie in fine que Touadéra n’en a cure des efforts déployés par la communauté internationale, à travers la Minusca, les organes du système des nations unies, l’Ue, la Ceeac, la Cemac, la France à travers l’opération sangaris, les USA, la Chine, et tous les partenaires privilégiés et autres bailleurs de fonds de la République centrafricaine qui ont consenti beaucoup de sacrifices humains, matériels et financiers pour l’organisation des dernières élections, le retour à l’ordre constitutionnel et l’avènement d’une ère nouvelle pour ce pays meurtri et mis en coupes réglées par des seigneurs de guerre sans foi ni loi. Ce qui signifie que Touadéra n’en a cure du sacrifice consenti par le peuple centrafricain et toutes les forces vives de la nation qui n’ont pas hésité un seul instant à taire leurs querelles, à freiner leurs ardeurs et leurs individualismes et à adhérer à sa promesse de la politique de la rupture, du changement et de l’alternance générationnelle pour le retour de la paix et de la sécurité et pour leur bonheur. Ce qui signifie que Touadéra a tout simplement menti à ce peuple, que la promesse de la politique de la rupture n’est qu’un leurre, qu’il a réellement trompé ce peuple et qu’il est en train d’user de ses voix pour assouvir  ses intérêts personnels et ceux de sa famille et pour faire repartir tout simplement et le peuple et la Rca à la case de départ.

Car ce qu’il est en train de faire, c’est tout simplement revenir en arrière en donnant l’opportunité à des étrangers et à des mercenaires de jouir de la nationalité centrafricaine et de s’en prévaloir le moment venu pour continuer de liquider la République et assassiner le peuple centrafricain sur sa propre terre, comme ils sont en train de le faire depuis plus de deux (2) ans. Et au-delà, c’est faire de la Rca un no man’s land livré à des conquistadores, une zone franche à la merci des grands mafiosi et trafiquants de tous genres,  un territoire sans armée et sans âme qui vive abandonné à des chasseurs d’or, de diamant et du bois et à des professionnels patentés de blanchiments d’argent sale et une bourse de valeurs pour toutes les opérations opaques et douteuses ou autres transactions financières à des fins éminemment personnelles et contraires aux intérêts du peuple centrafricain.

C’est donc  contre le peuple  et contre l’intérêt général  qu’il aurait décidé d’annuler, en catimini et sans avis technique préalable de son gouvernement et de ses conseillers, la délégation de la gestion de ces documents administratifs confiée, dans le cadre de la coopération Sud/Sud à une Société ivoirienne, via sa filiale centrafricaine CCS, déterminée à œuvrer en tant que société citoyenne et républicaine pour la création de l’emploi et de la richesse nationale et pour l’émergence d’une nouvelle classe de jeunes entrepreneurs et opérateurs économiques locaux.

C’est donc un acte politiquement dangereux et socialement contestable, et un signal très fort de haute trahison, lancé d’abord à l’endroit du peuple et ensuite de la jeunesse centrafricaine montante, entreprenante et dynamique, conformément à sa politique de la rupture tant prônée pendant la campagne électorale et sur la base de laquelle il a été  brillamment élu, qu’il serait en train de vouloir poser.

Alors, en voulant agir  de la sorte, ne serait – il pas en train de donner raison au directeur de publication du journal « La Fraternité » qui l’a ouvertement accusé d’avoir empoché de l’argent, non pas cette fois – ci de la part de CCS/ICS, mais de la part de ces puissants lobbies ? De ce fait, ne serait – il pas en train de courir le risque d’être poursuivi devant la haute cour de justice pour haute trahison ? Dans ce cas, ne devrait – il pas remettre au peuple centrafricain sa quote – part des fortes commissions de compromissions  qu’il aurait déjà empochée en catimini ? Quelles dispositions prendrait – il pour dédommager pour préjudices moraux, matériels et financiers la société CCS ? Où trouverait – il de l’argent à cet effet, puisque c’est la communauté internationale qui soutient la Rca du bout des bras depuis des années ? Et quid de la responsabilité de son premier ministre et de tous les membres de son gouvernement impliqués dans la gestion de ce dossier ? Que dire aux peuples frères africains, en général, et au peuple frère ivoirien, en particulier, et à tous les investisseurs étrangers qui voudraient bien nous accompagner dans ces moments difficiles ? Que dire à ces 4.000 jeunes qui auraient déjà déposé leurs dossiers et dont 243 devraient  être employés dans cette nouvelle société  pour son démarrage et près de 1.000 postes à pourvoir à terme sur un (1) an ? Que dire à toutes ces organisations syndicales, des femmes et de la jeunesse qui  seraient en train de signer des conventions de partenariat dans le cadre des actions sociales avec cette société ? Franchement, ne donnerait – il pas l’image d’un homme qui s’engage le matin, revient sur sa décision à midi, et dit le soir tout le contraire de ce qu’il a annoncé le matin et à midi ? Alors, bonjour les dégâts !

A Touadéra de faire son examen de conscience et de répondre à toutes ces questions avant qu’il ne soit trop tard !  A l’Ue et à la communauté internationale qui continuent de payer les salaires des fonctionnaires et agents de l’Etat de tirer toutes les leçons qui s’imposent au lendemain de l’éclatement au grand jour de l’Affaire de la société « Webb Fontaine » !  A Sarandji et  à tous les membres de son gouvernement impliqués dans la gestion de ce dossier de prendre leurs responsabilités devant l’histoire avant que le tonnerre de la honte  et de l’incompétence ne puisse s’abattre sur eux ! Aux élus de la nation, légitimes représentants de la nation de prendre leurs responsabilités en invitant courageusement le premier ministre, Sarandji et tout son gouvernement, à déférer dans les tout prochains jours à une séance d’interpellation devant l’assemblée nationale ! Au peuple centrafricain qui n’est plus dupe de rester vigilant pour ne pas laisser s’éteindre la flamme de la liberté  courageusement allumée par tous le 30 mars 2016 !

Affaire à suivre…… !

Jean – Paul Naïba

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