Mlle Wenzoui Priscilla Audrey prise en flagrant délit de « faux et usage de faux et d’enlèvement de 2 enfants mineurs »

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Elle s’appelle Audrey  Priscilla Wenzoui. « Inspecteur des impôts » de son état, elle assume depuis le dernier décret portant nomination ou confirmation des fonctionnaires et agents de l’Etat aux différents postes de responsabilité, les nobles fonctions de directrice des ressources humaines, au ministère des finances et du budget.

Elle y est arrivée non pas par sa réelle maîtrise de la technicité et son intelligence hors du commun, mais plutôt grâce à son charme et aux prédispositions naturelles dont elle a été généreusement comblée par le Maître des Univers Visibles et Invisibles. Elle y est arrivée aussi grâce aux multiples et multiformes soutiens de son mari avec lequel elle a eu deux (2) enfants, sans compter ses propres relations en dehors des liens conjugaux, avec un certain ministre – conseiller, très influent et très proche, semblerait – il, du président de la République.

Mais voilà, depuis quelques mois, la rumeur publique – cette rumeur qui tue, assassine et qui déshonore – ne cessait de faire état de ses relations extra – conjugales, trop visibles, trop salissantes, trop indignes et trop honteuses avec ce puissant ministre – conseiller qui pouvait tout faire, par exemple utiliser toute sa puissance et son argent pour obtenir illégalement et arbitrairement le limogeage d’un fonctionnaire ou d’un agent de l’Etat de ses fonctions, la suspension du salaire d’un autre qui critique trop souvent son régime en l’absence totale d’une décision de suspension de fonctions et de solde pour une durée de trois (3) mois avec traduction devant le conseil de discipline ou par exemple jouir  tout simplement de toute sa superbe pour  conter fleurette  et coucher sans gêne avec la femme d’autrui.

Finalement, pour avoir voulu  tout naturellement en avoir le cœur net, après avoir retrouvé et lu dans le téléphone de sa femme des messages  à caractère trop intime et trop déshonorant, le mari cocu et cocufié a été arrêté sans aucune forme de procès et jeté dans les geôles de l’OCRB. Une information qui a été rendue publique par le journal Médias +, in illo tempore.

 Quelle honte ! Quel déshonneur !

 Selon des sources dignes de foi, il aurait été extrait de là sur instructions personnelles du président de la République Faustin Archange Touadéra. Quoique déshonoré, humilié et réduit au minus habens par cet acte, le mari, en homme spirituellement élégant, a plutôt décidé de préserver la vie de leur union pour mieux préparer l’avenir de leurs enfants, même si tous les deux (2) ont opté pour la séparation de corps. Mais c’était mal connaitre Mlle Audrey qui y voyait un acte de faiblesse de la part de son mari et qui en profitait pour  le pousser à la séparation définitive. C’est ainsi qu’elle pouvait sortir de la maison sans dire là où elle allait et y revenir parfois deux (2) ou trois (3) jours plus tard.

En dépit de ces comportements et en sus de ses effets amassés par elle et soigneusement entreposés au salon, le mari cocu et cocufié ne bronche pas, jusqu’ au dernier acte qu’elle a posé le samedi 14 avril 2018, après avoir précédé la veille à l’enlèvement des enfants au domicile conjugal  en l’absence de leur père.

En effet, ce matin – là,  nantie de faux documents, obtenus sur la base de fausses autorisations parentales, à savoir  les passeports et les visas d’entrée au Maroc où elle aurait des parents, Mlle Priscilla Audrey Wenzoui arrive à l’aéroport avec ses enfants. Mû  par un instinct, celui d’un père à la recherche de ses progénitures qui ont disparu de la maison, la veille, le mari débarque à son tour, se trouve nez – à – nez avec sa femme, relève à la police des frontières les délits de fausses autorisations parentales et d’enlèvement d’enfants mineurs et y  fait opposition directement près le procureur de la République  près le tribunal de grande instance de Bangui qui juge recevable sa plainte et ordonne immédiatement  le non – embarquement des enfants. Pour la simple raison que l’acte qu’elle a commis est non seulement prémédité mais surtout en dit long sur la moralité douteuse de celle qui l’ a posé;  car tout parent se doit d’offrir une éducation digne de ce nom à ses enfants. Mais que dire alors de cet enlèvement de Prince, le garçon, qui serait allé à l’école sans retour ? N’est – ce là pas un acte visant à hypothéquer  à jamais son avenir ?

Depuis lors, Mlle Priscilla Audrey  Wenzoui a disparu dans la nature avec les deux (2) enfants. Jusques à quand ?  Quant au mari, son avocat s’est déjà saisi de ce dossier « pour faux et usage de faux et enlèvement d’enfants mineurs ».

Affaire à suivre…. !

La rédaction

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