Droit de réponse du ministre des finances et du budget Henri Marie Dondra au directeur de publication du journal « Letsunami.net »

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RCA : QUAND LE JOURNALISTE-MERCENAIRE IMAMIAH-EDOUARD YAMALET EST CADEAUTE POUR VOUER AUX GEMONIES LE MINISTRE DONDRA

9 Octobre 2019, 10:21am

|Publié par JFK

Il y a des métiers qui ne méritent pas certaines gens, mais aussi des gens qui ne méritent point certains métiers. Le journalisme, loin d’être une activité pour scribouillards en mal de posture, requiert un devoir de vérité, de probité et d’expertise qui s’accommode difficilement avec le dilettantisme et les louvoiements qu’il inspire.

Hélas, certains journaleux, tel un Imamiah-edouard Yamalet, et bien d’autres journalistes-mercenaires, s’adonnent allègrement à cette déchéance publique du métier hautement républicain de journaliste. Ils vont de chapelle en chapelle, à la recherche de leur pitance, sans foi ni loi.

A l’évidence, Imamiah-edouard Yamalet, une plume errante qui vogue depuis un certain temps  appartient à cette espèce rare de gens typiquement nuisibles  à la noblesse des métiers de la communication et de l’information.

Comment donc? Lui, Imamiah-edouard Yamalet, si souvent décrié par bon nombre des lecteurs pour ses analyses sulfureuses, inspirées de tendances maffieuses et manipulatrices qui datent de ses mois d’incarcération pour détournements de deniers publics, n’a toujours point compris que la vocation à travestir l’histoire ne paie en définitive, ni l’homme, ni le siècle.

Voici donc que le journaliste-mercenaire centrafricain nous livre son dernier cru, sous le titre « Coincé, le filou de Dondra plonge la main à la poche et remet 140 millions de Fcfa aux élus de la nation ». Une analyse d’une telle vacuité qu’il nous produit afin de nous permettre de nous faire une idée pour mener une lutte citoyenne contre ces journalistes mercenaires qui empuantissent le web-journalisme centrafricain.  Pour les habitués de son instrument de guerre (letsunami.net) contre les autorités dirigeantes de Centrafrique, il n’y a rien d’étonnant surtout que le nom de Henri-Marie Dondra semble devenir depuis longtemps son fond de commerce. Disons que Henri-Marie Dondra agite allègrement ses sommeils. Quid du ministre Dondra et du journaliste-mercenaire Yamalet est plus filou que qui? Qui des deux a déjà été écroué à la célèbre maison carcérale de Ngaragba pour des malversations en Centrafrique? Aux lecteurs de désirer.

Ce journaleux tueur à gage démarre son chiffon en écrivant ceci: « En pleines et grosses gouttes de sueurs froides, coincé hermétiquement de toutes parts et ne sachant plus trop quoi faire, le « filou » de Dondra a été obligé, hier, le lundi 7 octobre 2019 dans la matinée, après avoir fait la présentation de l’exposé des motifs du projet de loi des finances 2020, de plonger la main à la poche et déposer la rondelette somme de 140 millions de Fcfa, soit la somme d’un (1) million de Fcfa par député, sur le bureau de la questure.

Cette affirmation gratuite dénote une véritable expérience  du montage d’informations, qui témoigne du degré de bassesse humaine dans lequel Imamiah-edouard Yamalet a plongé sa carrière. Ramasser et rafistoler des ragots  est-ce cela le journalisme professionnel dont notre monde démocratique a besoin? Rien n’est moins sûr.

L’autre salve du journaliste-mercenaire Yamalet, décidément en mission commandée contre le ministre Henri-Marie Dondra, consiste à accuser paradoxalement l’argentier national d’avoir acheté son poste en ces termes: « l’ancien directeur général du Fagace qui a acheté son poste, grâce à de très bonnes et généreuses prodigalités dont a été bénéficiaire le « candidat des pauvres et l’homme de la rupture », un certain Faustin Archange Touadéra »

Quel aveu de haine aveugle et stupide! Ils sont nombreux, dans ces médias instrumentalisés, qui rêvent de voir se glisser l’épaisseur d’une feuille de cigarette entre le président  de la République Faustin-Archange Touadera et son ministre des finances et du Budget, Henri-Marie Dondra. Ils peuvent toujours courir. L’histoire les fera à jamais languir. Imamiah-edouard Yamalet appartient précisément à cette secte des rêveurs de haine, qui se réveillent chaque matin avec de violents maux de tête chaque fois qu’ils voient se multiplier des preuves éclatantes de la bonne et parfaite entente entre le Chef de l’Etat centrafricain et l’argentier national.

Pendant que le chien aboie, le ministre Henri-Marie Dondra accomplisse convenablement la mission qui lui est confiée par le président Touadéra, tout en suivant les directives du premier ministre Ngrébada à travers son programme de politique générale. La confiance totale du FMI à la RCA en est une preuve des prouesses du ministre Dondra et, un signal pour le travail qui se fait au niveau du Département des Finances et du Budget. Pour le ministre Dondra, c’est le pragmatisme et le concret qui doivent conduire la RCA à un lendemain meilleur. Un manager de management.

Voici l’heure la moins glorieuse de ce journaliste mercenaire Imamiah-edouard Yamalet!   Il faut définitivement tourner la page de Yamalet, et si ce n’est pour lui, du moins pour délester un tant soit peu le journalisme centrafricain de ses trop nombreuses brebis galeuses, abonnées  au lynchage médiatique des non-payeurs, et au louvoiement entre les mamelles nourricières de la haute corruption du monde de l’information. Et ce ne sera que justice.

Source : liberte-centrafrique.over-blog.com

Nota Bene :  Je ne puis qu’être fier  de la publicité que le « filou » de Dondra, en sa qualité de ministre de la République, n’a jamais cessé de faire en mon nom, après avoir fait suspendre illégalement mon salaire, en juin 2017. Cet honneur qu’il me fait me réconforte « in dies singulos » dans mon combat contre la mafia dont il est l’un des commandants et  qui s’est solidement incrustée dans l’âme de la République, depuis le 30 mars 2016, et la ronge tel un virus incurable, d’une part, et raffermit ma foi, d’autre part, d’autant plus que les faits que j’ai dénoncés dans mon article querellé, ont été révélés, ce jour, le mercredi 9 octobre 2019, par le Quotidien le plus lu de Bangui, « Médias+ » https://wp.me/pashCC-3DS. Il a bel et bien fait extraire de la caisse de l’Etat la somme de 140 millions de Fcfa pour le compte de la questure, en règlement d’une promesse, aux députés de la nation faite par lui, mais  non tenue jusqu’à hier.

 

 

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