CENTRAFRIQUE/BOUAR: PERMETTEZ NOUS DE DOUTER, AVEC UN OBSERVATEUR, DE LA VERSION OFFICIELLE DU CRASH DE CET HÉLICOPTÈRE
Seule une enquête permettrait d’établir les conditions et contextes de ce crash de BOUAR. Toutes les versions s’accordent sur le fait que cet hélicoptère revenait du théâtre des opérations de guerre contre les rebelles de #3R, Groupe Armé du chef de guerre #SidikiAbass, dont on nous dit qu’il aurait détallé en brousse.
L’hélicoptère avait-il pu être atteint par des tirs qui auraient causé des avaries ayant entraîné par succession de faits, on ne sait de quelle nature, cet crash aérien ?
Les États centrafricain et Sénégalais devraient exiger une enquête indépendante pour que l’opinion soit fixée sur les conditions et contextes du crash. Si les Centrafricains exigent cela, afin de comprendre comment les hostilités ont démarré entre 3R et le contingent #Portugais, et d’anticiper sur la suite des combats de ces derniers jours, les Sénégalais en auraient de même besoin du même exercice pour leur deuil.
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Cette nouvelle si elle est avérée plus celle parlant de la destruction de chars devraient nous inquiéter.
Car cela pourrait laisser penser que Sidqqi comme d’autres groupes armés on, en fait, profiter de l’Accord de Khartoum pour engranger plus d’argent et se réarmer. Et notamment des armes lourdes, car pour percer le blindage de chars d’assaut et d’hélicoptères de combat, on pourrait penser que Sidqqi disposerait d’obus-flêches (OFL) à pénétrateurs en uranium appauvri (UA) qui peuvent percer tous les blindages connus.
Je le soupçonne d’avoir fait acquisitions d’obus 120mm UA.
Ce qui est extrêmement inquiétant, car ça veut dire que c’est l’accord de Khartoum qui leur a permis d’atteindre une telle puissance de feu.
TOUADÉRA a rendu ça possible par sa politique irréfléchie.
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Crédit photo: https://kewoulo.info/wp-content/uploads/2019/03/crash.jpg
