CENTRAFRIQUE: UNE PISTE PRINCIÈRE VERS LES 137 MILLIONS DE FRANCS CFA DE FIRMIN NGRÉBADA

CENTRAFRIQUE: UNE PISTE PRINCIÈRE VERS LES 137 MILLIONS DE FRANCS CFA DE FIRMIN NGRÉBADA

Cela ne nous a pris beaucoup de temps, pour recouper les éléments d’informations de Corbeau News Centrafrique, publiés le 6 novembre 2019 , 9:57, informant les Centrafricains et autres Citoyens du monde sur l’enquête de la Justice Française visant le Premier ministre Ngrebada Firmin sur l’existence d’une manne de << près de 137 millions de francs CFA (lui appartenant) bloqués en France>>.

L’accumulation d’erreurs émanant du Premier ministre Centrafricain ne pouvait qu’attirer l’attention des services affectés à la surveillance des mouvements de fonds à l’international, lutte contre le crime organisé et le blanchiment d’argent obligent.

Si par copinage ou sous pressions diverses, quatre transferts de fonds peuvent être expédiés de Bangui sans grande préoccupation, leurs réceptions sur un compte bancaire non commercial, appartenant à un particulier de surcroît chômeur et réduit au #RSA, ne peuvent qu’attirer l’attention, du Banquier à l’Inspecteur des Finances, même avec des documents immobiliers montés de toutes pièces, non certifiés par un quelconque notaire ou un avocat.

L’actuel gendre Français, blanc, devenu, il y a peu, l’époux de la fille adoptive du Premier ministre Centrafricain, Ngrebada Firmin, par un mariage blanc à lui offert par sa belle-famille Centrafricaine, tous frais payés, lequel joyeux mari réduit au #RSA, ne pouvant nullement justifier sa qualité de vendeur d’un quelconque bien immobilier, dont il serait l’héritier ou propriétaire, ou de commercial à la petite semaine servant de lien entre un probable vendeur inconnu (à l’heure actuelle) et un potentiel acquéreur Ngrebada Firmin, la machination ne put aller loin. Ce Monsieur, Troyen de sa résidence, pour son malheur étant déjà sous surveillance policière pour vérification de la matérialité de son récent mariage, facilitant à une réfugiée Centrafricaine de pouvoir régulariser ainsi son séjour en France.

Parenthèse. Après avoir bénéficier du statut de réfugiée politique, ici en France, Mlle Ngrébada en fut déboutée quelques temps plus tard. Sa préfecture d’attache lui ayant notifié sa reconduite aux frontières, elle ne trouva pas mieux que d’en changer pour se retrouver dans l’Aube, à Troyes où elle convola rapidement en noces avec celui-là qui fait face maintenant aux Services des Finances de son pays. Voulant rendre service, le voilà coincé maintenant, le pauvre.

Comme quoi le Premier ministre Centrafricain aurait été bien inspiré de trouver un bon avocat à sa fille pour lui régler son problème d’asile politique, bien qu’il soit fiché anti-Français et pro-Russe que de verser dans une autre complication qui, avec ces dernières accusations remettraient en question le mariage blanc chèrement consenti de sa fille pour rester coûte que coûte en France.

Pourquoi n’a-t-il pas pris le temps d’inviter son gendre chez Nous, à Bangui La Coquette, lui créer une entreprise de BTP ou de négoces immobilières, entre Oubangui-Chari et sa Métropole, pour ensuite justifier aisément de ses mouvements de fonds, qui ne devaient que se répéter, comme nous l’apprenons avec beaucoup de remords exprimés par notre #GendreNational ?

Voici ce que nous pouvons verser, pour l’instant au dossier NGRÉBADA-BIENS MAL ACQUIS EN FRANCE.

Soutien à tous les sinistrés Centrafricains (Guerre civile et inondations), bon week-end, chez vous !

Henri Grothe

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