Centrafrique/Russie : les russes du Groupe Wagner fument du chanvre indien à Bangui, torturent à Bambari et assassinent à Bérengo

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CENTRAFRIQUE/WAGNER (RUSSIE) : SANS RÉELLEMENT CONTRIBUER Á LA STABILITÉ DU POUVOIR DE TOUADÉRA, LES MERCENAIRES RUSSES DE WAGNER FUMENT DU MBANGUI, CHANVRE INDIEN, Á BANGUI, TORTURENT DES MILICIENS, Á BAMBARI, ET ASSASSINENT, Á BÉRÉNGO.

BÉRÉNGO (12 mars 2019, 11:40). C’est à croire que de son lieu de repos éternel #PapaBok n’en finit pas de se venger de ceux qui ont osé perturber son sommeil, en y amenant et acceptant des mercenaires Russes venus renforcer le pouvoir d’un de ses fils égarés ressortissants de son université, qu’il imposa la création à la coopération Française à Bangui.
Le sommeil de l’Empereur de Centrafrique perturbé par la profanation de son lieu de repos, il n’aurait cessé de sévir, un peu partout sur le territoire national pour revenir chez lui à Béréngo, ce week-end meurtrier.

Le week-end dernier fut dramatique dans ce village impérial, de la Commune de Pissa, à l’entrée de la Lobaye, venant de Bangui. « Un Russe a tué le mari de sa maîtresse, dont il s’en est follement amouraché, au point d’en devenir jaloux et ne plus vouloir la partager avec le défunt époux cocu ».
Émoi, tristesse et colère dans Béréngo !

Résident non loin de la base improvisée des Russes, Dame SITI-WOLLOSSÈ, patronyme que nous lui attribuons, passait par là régulièrement de grand matin et en milieu d’après-midi, pour ses travaux champêtres, comme tout le monde, seule ou accompagnée de ses relations. Ses attributs avantageux la firent remarquer aux yeux de ce Sous-officier WAGNER, qui ne manqua guère de se rapprocher d’elle, de la titiller et ce fut le début d’une relation amoureuse, où la femme, à moitié NGBAKA et à moitié MBATI, sut la séduire et la fidéliser durablement. Ne pouvant plus s’en passer, et multipliant les parties d’extases, ce Slave de Russe ne put se retenir que de vouloir sans cesse la retrouver, ne fusse que pour quelques moments d’agréables plaisir de simple rencontre. Comme tout finit toujours par se savoir, relayé par ses compagnons de route, puis ses confidentes, le village sut combien cocu était devenu le mari de Dame SITI-WOLLOSSÈ.

Parvenu à ses oreilles, VOPAMADÉ, c’est le nom dont nous affublons volontiers le mari cocu, dut prendre les mesures qui s’imposent pour reprendre la main et défendre sa citadelle assiégée et en passe de tomber dans sous le contrôle d’un autre que lui. Devenu qu’il était l’objet de railleries de ses frères Lobayens, bouffeurs de racines et d’écorces diverses pour entretenir leurs coups de reins appréciés et réputées agréables par leurs conquêtes féminines, mêmes chez les plus âgés. Comment lui, le jeune et très efficace Lobayen, apprécié par ailleurs d’autres maîtresses qui se le disputent, serait en passe d’être déstabilisé par ce Blanc non-circonscrit venu de sa lointaine Russie, pour le faire ainsi tomber en buvant la honte de sa vie.

Arriva donc ce qui devait arriver. Empêché de retrouver sa maîtresse, dont le mari la marquait désormais au pas et à la culotte, le Sous-officier WAGNER, les croisant, décida d’en finir avec son rival pour en être seul maître à bord de ce corps ensorcelé par l’Esprit de PapaBok y logé pour ainsi piéger le mercenaire Russe.

Ainsi, pour raison passionnelle, « un Russe de Béréngo tua un villageois, le week-end dernier ».

Le drame commis, l’assassin put se tirer d’affaire, alors que choqués les villageois hésitaient encore sur la sanction à lui attribuer. Réfugié à sa base improvisée de Béréngo, sur les terres de PapaBok, ses supérieurs l’exfiltrèrent sur Bangui, en veillant bien sûr à consigner les autres restés là-bas.

Aucun dossier ‘est ouvert à ce jour sur l’affaire, ni à M’Baïki ni à Bangui et encore moins à Bimbo. Le Maire de la Commune de Pissa et les notables de Béréngo ont saisi le Préfet de l’affaire, en espérant qu’il ferait diligence pour en aviser les autorités, à Bangui, afin que des mesures soient prises pour rendre justice aux parents de la victime.

Cette affaire tombe vraiment très mal, au moment où le Gouvernement Ngrébada, à peine formé est livré à une crise, qui l’empêche d’être vraiment opérationnel dans cette affaire de crime passionnelle impliquant un mercenaire Russe couvert par la Fédération de Russie, qui aurait déjà soustrait à la Justice Centrafricaine l’auteur du crime.

Du registre des faits divers, l’affaire deviendrait-elle une affaire d’État pour ensuite se transformer en scandale diplomatique ?
Après les drogués Russes du Camp de Roux, à Bangui, qui troquent leur paquetage contre le chanvre indien (Mbangui), les tortionnaires Russes de miliciens Autodéfenses de Bambari, suite à #JMA2018 empêchée brutalement par l ‘attaque des Peulhs armés #UPC de #AliNDARASSA, l’image de la Fédération de Russie ne cesse de prendre de sérieux coups auprès de la population, à travers le comportement de délinquants et tortionnaires affichés par ses « Supplétifs de WAGNER ».
Sur les Terres de PapaBok, Béréngo réunie n’en veut plus de ces mercenaires Russes de WAGNER venus du froid.

#MONGOUMBA

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