SÉBIRO REPOND À SA PROPRE BOYRABIE HÉRÉDITAIRE :
« Mon père le Préfet Maurice SEBIRO m’a transmis les valeurs de l’honnêteté, je ne suis pas attiré par les choses de la terre. Depuis que je suis dans la politique, je ne cesse de me battre pour conserver ces grandes valeurs que mes parents m’ont laissées en héritage.
Ma présence dans la haute sphère de l’Etat centrafricain gêne les charlatans, les sorciers, les hiboux, les voleurs, les detourneurs des deniers publics, les bras cassés et tous ceux qui font la politique pour leur ventre, je n’ai pas encore changé et je ne changerai jamais.
Je suis journaliste et Directeur de Publication de Centrafrique Libre qui était de loin l’organe de presse centrafricain le plus lu entre 2012 et 2016.
Je n’ai pas encore perdu ma plume. Je demeurerais journaliste même si je me retrouvais dans le désert.
Meilleur de ma classe en anglais de la 6ème en terminale, je pratique encore tant bien que mal cette langue internationale qui est pour moi, un véritable passeport.
Je suis chauffeur poids lourd. Je suis aide maçon en Voiries et Réseaux Divers, je ne chomerai jamais.
Ministre, je suis fier de continuer à courir et de faire le travail de manœuvre.
Patriote engagé et Panafricaniste, je continuerai toujours à défendre la voix de mon peuple et celle des africains.
Homme intègre, je combattrai toujours, voire en silence les nombreux politicards véreux de mon pays.
Beaucoup souhaitent que je tombe, voire que je meurs, mais je suis un enfant de Dieu. Je ne suis pas allé dans la franc-maçonnerie encore moins chez les Moon, les marabouts ou les sorciers pour devenir ce que je suis.
Ces méchants et mécréants vont périr parce je suis du bon côté.
Je m’appelle Sebiro qui signifie la flèche de la guerre, le combattant ou le guerrier.
Je ne reculerai jamais devant les adversaires.
Qui vivra verra », dixit Sebiro.
Lu Pour Vous