Mais qui fait courir le président de la République Centrafricaine ?
À peine le ruban coupé chez son ami du #BARC, Sieur Sani YALO, le voilà à bord d’un jet privé pour Malabo, espérant se faire recevoir gaiement chez Excellence Teodoro Obiang NGUEMA MBASOGO. Que ni ni… « Le #Doyen n’était pas pour lui disponible ».
Direction N’Djaména. Là encore, la chose se complique avec une demande portée perso de sécurisation des frontières, avec la RCA, que Faustin Archange Touadéra avait déjà tenté récemment de faire adouber par la #CEEAC… Vainement !
De 7000 hommes #FOMAC, en plus des @MINUSCA, souhaités par TOUADÉRA, Excellence #IDI lui ayant déjà répondu niet à @Libreville, ses arguments de regain d’une guerre civile centrafricaine qui gagnerait très bientôt Bangui la Coquette ne le convaincra pas plus, dans la mesure où lui-même, #Touad, accusait Ndjaména de velléités déstabilisatrices de son pouvoir et de l’État centrafricain.
Toujours est-il qu’aux dernières news de la soirée, N’Djamena maintient son NIET.
Poursuivra-t-il sur Kin-Malébo, Brazza-la-Verte ou Luanda, avant de revenir bredouille de partout ? N’aurait-il pas mieux fait d’aller à #NgouKomba, Requins et BTI6 déployés, genoux à terre, priant pour chasser les diables qui s’amoncellent sous le ciel centrafricain, de Mamoune à Bayanga et de Bouar à Bambouti ?
Décidément, pas besoin d’un doctorat en quoi que ce soit pour résoudre les équations centrafricaines.
Observons, n’est-ce-pas ?
Henri Grothe
