Centrafrique : ce sont les éléments de la garde présidentielle de Touadéra qui ont tiré sur les élèves !

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Ce sont les éléments de la garde présidentielle de Touadéra, recrutés sur la base des critères d’appartenance ethnique, formés dans certains pays étrangers, sous des dehors de nouvelles recrues de l’armée centrafricaine, mais dont l’intégration dans les forces armées centrafricaines, fort étonnement, et ce, au grand dam du mathématicien de Boy – Rabé, a failli être à l’origine, il ay quelques semaines seulement,  d’une mutinerie, qui ont tiré à balles réelles sur les élèves, le lundi 2 mars 2020, lors d’une manifestation pacifique organisée dans la capitale centrafricaine, en réponse à la suspension des cours due à la grève des enseignants-vacataires. Telles sont les révélations qui ont été rapportées à notre rédaction par des sources proches du ministère de la défense nationale et du département de la sécurité publique.

 

En effet, face au tollé général et généralisé  et à la colère qui ne cesse de grandir tant au sein de la population centrafricaine que dans l’opinion, au lendemain de l’usage excessif des FDSI et du recours à des armes et à des tirs à balles réelles sur des manifestants à mains nues, de surcroît des élèves réclamant de manière non violente et citoyenne  leur droit à l’instruction et  un enseignement de qualité par l’intégration de leurs enseignants dans la fonction publique, les forces armées centrafricaines, en général, et les FDSI, en particulier, c’est – à – dire les policiers et les gendarmes, à en croire ces sources,  ne se reconnaissent pas dans les bavures policières d’une extrême gravité ayant caractérisé ces manifestations et ayant entraîné plusieurs blessés dont un cas d’une perte en vie humaine, celle d’une jeune fille dont l’image a circulé sur les réseaux sociaux. Non seulement, ceux – ci dénoncent et condamnent de tels actes dignes d’une République barbare et dictatoriale qui utilise son armée contre son propre peuple, mais surtout pointent un doigt accusateur vers les éléments de la grade présidentielle et son haut commandant en chef en la personne d’un certain Faustin Archange Touadéra, en président de la République.

Aux dernières nouvelles, si ces gentilles indiscrétions venaient à s’avérer, une plainte sera déposée dans les tout prochains jours par les activistes des droits de l’homme contre le gangster à la tête de l’association des malfaiteurs au pouvoir à Bangui, depuis mars 2016, devant la cour africaine des droits de l’homme et le conseil européen des droits de l’homme.

Affaire à suivre….. !

La rédaction

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