Centrafrique : »Affaire détournement de 90. 167.199 Fcfa »: le journaliste Fiacre Salabé répond aux insanités de Mada Ernest et lui demande de porter plainte

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Bonsoir chers tous !

Loin de pouvoir me justifier, sur la question de ma récente publication concernant le détournement des fonds publics par l’actuel directeur de cabinet du premier ministre Ernest Mada quand il fût encore directeur de cabinet au ministère en charge de l’éducation nationale.

Loin aussi de pouvoir répondre aux coups de bottes de l’âne, car mon éducation ne me permet pas de répondre à des insanités.

Je dis et je réitère que cette publication, est le résultat d’une enquête menée il y a quelques mois déjà. J’ai pris le soin de consulter des documents authentiques avant cette publication. J’ai pris soin de vérifier les sources dont leurs noms figurent sur le document consulté, d’ailleurs leurs contacts s’y trouvent.

J’ai tenté mille et une fois d’entrer en contact avec le ministre Ernest Mada, il a refusé, une dernière à l’assemblée nationale, il a proféré des menaces pour se couvrir.
Je pense que mon enquête a ciblé trois lignes à savoir: livraison des livres spécifiques, à hauteur de 9 738 960 FCFA non livrés, livraison d’une moto à l’ordre de 1 118 600 FCFA non livrée, puis la livraison des fournitures et produits d’entretien, à l’ordre de 79 309 639 tous non livrés. 75041874 / 75508452 les contacts qui figurent sur le document consulté, ceux qui doutent n’ont à vérifier.

Le directeur de cabinet Ernest Mada visé par notre enquête est dans ce groupe, il nous lit, si notre enquête est une allégation visant l’homme d’État Mada comme le pensent certains, lui même perso peut procéder au démenti formel de ces trois lignes dont notre enquête a retracé. Au cas contraire puisque taxé d’allégations, il peut toute fois porter plainte, nous serons les tous premiers à se présenter devant la justice pour répondre de nos actes d’allégations à l’endroit des autorités.

Au reste, j’ai bénéficié d’une éducation qui ne me permet pas de fouiller dans la vie des gens. Je sais mener les débats d’idées, et non les débats de personnes, consistant à se limiter à la vie des gens car ça ne va nulle part me grandir
Il y a des autorités ici dans ce groupe voire dans le gouvernement, dont nous gérons leur communication à l’ombre, en termes de conseil et bien d’autres. Mais en aucun cas on s’affiche négativement car se serait entaché encore leur image, au nom des stratégies de communication dont nous avons appris.

Je n’ai jamais diffamé au nom de qui que ce soit dans ce pays, bien au contraire, on a contribué à lutter contre la désinformation qui vise le gouvernement et ses partenaires dans ce pays, le ciel est même témoin de nos actes.
Il y a des autorités ici et dans le gouvernement dont perso, je côtoie pour plusieurs raisons, mais je ne les ai jamais côtoyé en colportant les noms des gens pour trouver à manger, car il en va de ma personnalité vis-à-vis d’elles-mêmes.
Nous sommes conscients du résultat de cette enquête menée, raison pour laquelle on préfère rester serein, sans s’agiter car notre conscience est tranquille face à toute provocation ou agitation sans scrupules.

Une fois de plus, nous réitérons que, si l’enquête publiée est jugée comme allégations, que l’intéressé fasse ses démenti, ou se plaigne en justice pour qu’enfin, la vérité jaillisse.

Équivoque à lever : tous on a chacun le monopole de violences verbales dans ce pays. En bon journaliste, on détient autant d’informations sur les piètres communicants qui croient être violents, dont on peut faire usage, mais on ne veut pas, pour notre respect et comme notre éducation ne nous permet pas cela. Quand on se dit autorité, et que l’on permet à ses ouailles d’injurier certains s compatriotes qui ne font que faire leur travail, c’est absurde, c’est de la véritable aberration, quel héritage légué pour les futures progénitures ?

Fiacre Salabe Journaliste d’investigation et de Vérification des faits

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