Birao : un nettoyage ethnique en cours….

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#URGENT CENTRAFRIQUE À LIRE ET VEUILLEZ BIEN PRENDRE NOTE 🗒️🖊️UN VÉRITABLE COMPLOT GOUVERNEMENTALE CENTRAFRICAINE DANS LE CONFLIT AU NORD-EST DU PAYS.

En Centrafrique le conflit qui est éclaté du 1er et 2 Septembre 2019 dans Birao à l’extrême Nord-est du pays face à l’escalade vers le «nettoyage ethnique»

Nettoyage ethnique ou faire disparaître d’un territoire un groupe en fonction de son identité ethnique également désigné comme épuration ethnique est le déplacement forcé. visant à faire disparaître d’un territoire un groupe ethnique des Rounga.
Le crimes de guerre et crimes contre l’humanité qui à éclaté en début du septembre 2019 à Birao provoqué par les rebelles du MLCJ Toumou Hamza Gilbert Deya proche de l’ethnie Kara et ses alliés PRNC du Zakaria Daman et Arda Hakouma de l’ethnie Goula suite par la corruptions gouvernementale Centrafricaine pour la destruction totale du Nord-est Centrafrique et sa populations.

•En 2006 les Goula ont été commencé sous forme de rébellion ils ont attaqué et pillées à plat la population de Birao
•En 2007 ils ont attaqué à nouveau Birao et pillées la populations civiles.
•En 2008 a 2010 ils ont attaqué trois suivis de pillage planifier de Sam Ouandja
•En 2011 ils ont attaqué Bria pillée et brûlées les biens des gens sous prétexte attaqué leur ennemi de l’ethnie Rounga.
•En 2009 ils ont essayé de piller Ndah la ville de Sikikédé frontière entre Tchad et la Centrafrique mais ils ne sont pas arrivés.
•En 2012 lors de l’apparition du mouvement Seleka proche du ancien président de transition Michel Djotodia Am Nondroko ils ont attaqué pillée et de Bria jusqu’à la frontière Cameroun.
•En 2018 ils ont planifié le pillage de Birao mais ils ne sont pas arrivés. Et en début du 1er et 2 Septembre 2019 ils ont utilisé l’ethnie Kara par la complicité du gouvernements de Centrafrique de nombreux mercenaires étrangers Djanjawids venus du Soudan et ont participé à la guerre à Birao en début du Septembre 2019 et ont leurs apporté soutien par la corruptions accordé par le leader du mouvement Rebelle MLCJ Hamza Gilbert Toumou Deya actuelle ministre chargé des relations avec les groupes armés et ses compagnons en achetant des mercenaires étrangers aux parties en conflit en échange de contrats lucratifs ou de poste haut niveau dans l’autorité.

Il existe que le gouvernement de la Centrafrique à aidé le mouvement Rebelle MLCJ du Toumou Deya Gilbert proche de l’ethnie Kara le but principale est de pousser les rebelles du MLCJ épaulé par le PRNC et djandjawids de provoquer offenser et d’affaiblir le mouvement du FPRC et l’ethnie Rounga le plus peuplé sur l’étendue du territoire de la Vakaga. Et finalement par leurs hypocrisie et la méchanceté ils ont ciblé 3 autres ethnies tel que Sara, Haoussa et Borno, et du coup ils ont pu arrivé et pillé vidée et incendiée la ville de Birao sous prétexte de conflit entre deux ethnies Kara et Rounga alors que ces deux non pas de #problème.

A chaque fois attaqué et pillées ils cherchent à justifier qu’on est en conflit avec leur père rival Rounga mais Birao qui a été détruit est-ce que Birao et la ville de Rounga ? La réponse c’est « NON » est ce que le pillages à ciblé seulement les Rounga ? « Non » et mais pourquoi ciblé les trois autres ethnies Haoussa,Borno, et Sara? Et Pourquoi pillée et brûlées les biens des ces gens qui ne sont pas Rounga? en gros le conflit de Birao c’est une complicité profond du régime en place, et du vol organisé par les Goulas et leur allié Arabes Djanjawids venus du Soudan, et aujourd’hui les Kara sont roulé dans le sac de Farine de la corruptions.

Des témoins et des victimes ont témoigné de la présence et de la participation de mercenaires étrangers Djanjawids venus du Soudan #accompagné par d’autres rebelles Tchadiens qui combattaient avec en appuyant le MLCJ. Des victimes d’amputations, de tueries et de massacres incendies à enregistré une masse populations civiles déplacées interne plus de 15 Milles innocents expulsé en plein saison pluvieuse.
Des enfants combattants et d’autres jeunes étudiants de l’ethnie Kara sur ces images en armes,pistolets, d’armes à feu et lourdes ont été vus en train de participer activement aux massacres et amputations. Certains de ces enfants sont blessés dans des derniers affrontements à 30 kilomètres de Birao ont été envoyé à Bangui par l’aviation du CICR pour les soignes médical mais aucun justice n’a pas été porté sur eux, mais quant aux éléments du FPRC blessées en Septembre dernier et envoyé à Bangui pour les soignes ont été ramassé de leurs lits a l’hôpital et conduite au prison pour comprendre la réalité du lien entre le gouvernement et le mouvement rebelle du MLCJ.

Les mêmes rebelles du MLCJ appuyé par les rebelles du PRNC la quinzième groupe rebelles et les arabes Djanjawids sont encore perpétrés une nouvelle massacres des pillages dans la #ville de Bria dans haut-kotto au Samedi Dimanche 26 Janvier 2020 et tout la ville s’est vidé de sa populations civiles fuit leurs domiciles et se sont installés dans le site de déplacés aux alentours.
NB: Bria la position du FPRC à été attaqué par la complicité qui à détruit Birao, et du coup Ousta Ali soit disant l’état major l’homme né d’un père Goula et d’une mère Kara qui est devenu traître, Ousta Ali qui avait éloigné de FPRC puis ralliés avec ses parents et devenu le pire ennemie et du coup il tourne son fusil contre FPRC.

Alors
Que vous inspire cette nouvelle escalade terriblement meurtrière ?
L’alerte la plus inquiétante remonte au début septembre dernier avec, déjà, un massacre de la populations civiles d’une ampleur jamais vu. On pensait que cela ouvrirait les yeux des autorités, il n’en a rien été. Cette nouvelle étape dans l’escalade pousse à utiliser un vocabulaire qu’on hésitait à employer : le nettoyage ethnique. Et les moyens de s’entretuer ont augmenté sur fond de lutte contre l’ethnie Rounga, où l’instrumentalisation des communautés joue à plein et d’appui et
Un sentiment d’impunité s’est installé car l’Etat n’a jamais déclenché aucune poursuite contre les auteurs de ces actes barbarie de crimes de guerre et crimes contre l’humanité.

Birao depuis le début du conflit en septembre dernier et durant toute la saison pluvieuse par l’occupation du MLCJ et ses alliés PRNC appuyé par les mercenaires étrangers Soudanais Djanjawids venus. les rebelles ont commis des violences sexuelles organisées et généralisées contre les filles et les femmes. Les rebelles ont organisé des opérations pendant lesquelles ils ont regroupé des filles et des femmes enlevée brutalement les ont conduites au quartier général des rebelles quartier Kara et les ont violées individuellement ou en groupe. Ces abus sexuels étaient souvent d’une extrême brutalité. Des jeunes filles de 12 à 15 et 17 ans, et particulièrement des vierges, étaient les principales victimes de plus 15 d’entre elles ont ensuite été enlevées par les rebelles.

Les rebelles ont pratique un grand nombre de mutilations, en particulier des amputations de mains, de bras, de jambes et d’autres parties du corps. Il s’agit d’une pratique horrible qu’ils ont développée pendant les offensives lancées contre le position du FPRC dans Birao et Amdafok frontière avec le Soudan et la Centrafrique. Dans nord-est Centrafrique, plusieurs centaines de personnes -principalement des hommes mais aussi des femmes et des enfants innocents ont été tués et mutilés de cette façon. On raconte également très récemment dans l’attaque rebelles la populations civiles du Village Kamoun le 17 Janvier 2020 situé à 7 kilomètres de Birao pillés et incendiée le village a plat, le village Kamoun de l’ethnie Sara n’existe plus sur la carte géographique Centrafricaine que des personnes étaient brûlées vives dans leurs maisons, souvent après avoir été blessées. Les enfants et les vieilles personnes étaient particulièrement vulnérables.

Des témoins ont rapporté que des rebelles jetaient des civils et parfois des enfants- dans des maisons en feu et tiraient sur ceux qui tentaient de s’échapper. Des membres de certaines familles qui essayaient de sauver leurs enfants ou d’autres parents d’une maison en feu ont été menacés de mort et obligés à les abandonner aux flammes et tiré dessus a la fin, Il existe des témoignages extrêmement détaillés sur l’appel au calme par le Sultan Ahmat Amgabo et Abdraman Tougouch aux populations déplacées interne près de la MINUSCA pour regagner leurs domiciles alors qu’ils ont des opérations ayant pour but de regrouper des civils et de les mutiler, les violer ou les exécuter mais heureusement personnes n’a jamais retourné à la maison.

Ie 27 décembre 2019 sur l’axe Amdafok Birao pour la plupart des marchands ou des hommes d’affaires, ont été traqués saisie leurs marchandises et tués d’une façon particulièrement brutale. Les rebelles du MLCJ et ses alliés PRNC appuyé par les mercenaires Soudanais Djanjawids ont tué au moins 85 populations civiles aux de Birao dans certains villages qui ont été ravagé. plusieurs chefs des villages et des témoins ont affirmé avoir vu que les rebelles disposaient de listes contenant les noms des personnes identifiées dans ces quatres ethnies Rounga, Haoussa,Sara,Borno, pour les exécutions.

Nous populations civiles de Birao et Vakaga en particulier demandons a la communauté internationale.

D’enquêter de manière approfondie et de poursuivre en justice, conformément au droit international, les individus coupables de graves violations du droit humanitaire. Les combattants rebelles perpétrés cette drame et crimes de guerre et crimes contre l’humanité doivent être tenus pour responsables devant la justice. Et la pression internationale doit être maintenue pour les convaincre de mettre fin aux meurtres, viols, mutilations commis au populations et aux enlèvement de civils et de filles et femmes principalement utilisés en esclaves sexuels ou à d’autres violations du droit de la guerre.

Nous populations de Birao demandons au gouvernement de la Centrafrique de respecte sa promesse de mettre fin aux opportunités bizarre et fin au recrutement de jeux aux Hazard face au violation et l’enterrement des accords de paix de Khartoum signé le 3 Février 2019. Même si l’accords de paix de Khartoum est échoué, les populations civiles n’ont pas souhaité leurs sang coule au sol. Peuples Centrafricains à trop souffert, et dire trop c’est trop.

Dar-Rounga Média Vakaga Centrafrique.

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