Azur : Les vrais en – dessous de la grève sauvage du personnel

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Selon des informations dignes de foi en notre possession, les raisons ayant conduit, ces derniers temps à la grève sauvage du personnel de la société de téléphonie mobile dénommée « Azur », trouveraient leurs origines dans la volonté affirmée du directeur général, M. Morel, de traduire des cadres et agents de cette entreprise, détenteurs de faux diplômes devant le conseil de discipline.

En effet, deux (2) points importants étaient inscrits dans le plan d’actions à mener au titre de l’exercice en cours, en vue de  la  redynamisation de cette entreprise : l’obtention de la connexion 3G et la mise en œuvre de l’Accord d’établissement. Pour réaliser ces objectifs, M. Morel a dû recourir à un financement d’un montant de 3, 4 milliards de Fcfa près la banque « Bsic » et non à un prêt d’un montant de 6 milliards de Fcfa comme voudraient bien le faire croire ces détracteurs et leurs complices tapis et dissimulé au sein du personnel.

Malheureusement, cette aide financière était en – deçà de l’enveloppe nécessaire à l’exécution de ce projet porteur d’avenir tant pour la société que pour son personnel. Alors, il a été obligé de faire des prélèvements sur les ressources propres destinées au paiement de salaires pour supporter le gap de cet important investissement. C’est de cette encoche dans l’enveloppe réservée au paiement mensuel des salaires que va naître à la longue  le cumul d’arriérés de salaires ayant été avancé pour justifier le mécontentement des cadres et agents de la société Azur.

Et pour faire profiter le personnel des bénéfices à tirer de l’exploitation du système 3G, à la demande des délégués syndicaux, M. Morel a décidé d’appliquer stricto sensu les termes d’Accord d’Etablissement adopté et signé, en ce qui concerne la création et le fonctionnement effectif de la commission paritaire.

Pour la gouverne de l’opinion nationale et internationale, il faut noter que cette commission est chargée de veiller au traitement des dossiers d’avancement des cadres et agents, aussi bien dans le secteur étatique que privé, sur la base des critères de qualifications, de diplômes authentifiés, et de compétences.

Selon des sources bien fondées, c’est la détection par le DEC, d’une part, et le DAAC, d’autre part, parmi les cadres et agents de cette société, de détenteurs de faux diplômes, qui sera en réalité à l’origine du déclenchement de cette grève sauvage, le retard des trois (3) mois de salaires n’étant alors qu’un alibi de circonstance.

Donc,  par ce mouvement de colère, ces faussaires qui ont usé de faux diplômes pour être recrutés et promus à de hautes fonctions, et qui non seulement ont avoué leur forfait dans les réponses aux questionnaires  à eux  régulièrement adressés par le service du personnel, mais surtout ont demandé une mesure d’indulgence et de clémence, ont voulu se soustraire à leur traduction devant le conseil de discipline.

C’est ainsi qu’ils ont pris d’assaut la direction générale ce jour – là très tôt le matin, sans avoir préalablement fait parvenir à la hiérarchie une lettre de préavis de grève, comme l’exigent les textes et règlements en vigueur en matière de droit syndical.

Il s’en est indubitablement suivi des campagnes de dénigrements et de calomnies montées de toutes pièces à l’endroit de M. Morel qui n’ a voulu que mettre en application son plan d’actions comme cela se passe dans toutes les entreprises.

Voilà la vérité ! Des faussaires qui ont envahi l’âme de cette société et qui veulent se soustraire de la loi pour défendre leur pain, obtenu au prix de la tricherie, du clientélisme, du népotisme et du favoritisme…..Nous publierons les noms de ces ennemis de la méritocratie et farouches partisans de la médiocratie dans notre prochaine parution…..

 

Affaire à suivre….. !

 

La Rédaction

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