
Comme nous l’avons annoncé dans nos dernières publications, en application des dispositions de la Convention de Vienne du 18 avril 1961 dont est signataire la République Centrafricaine, le gouvernement Ngrébada, par l’entremise du ministère des affaires étrangères, a finalement saisi la Minusca d’une note verbale dénonçant les comportements inamicaux et de nature à créer des troubles sociaux et inter- communautaires dans le pays dont se sont rendus manifestement coupables certains fonctionnaires des Nations Unies. Les mis en cause dont les noms ont été régulièrement et abondamment cités par les médias locaux, qui ont été déclarés « personae non gratae », ont une dizaine de jours pour quitter le territoire national, selon des sources proches des milieux diplomatiques.
En réaction, le G5 et autres partenaires privilégiés de la République centrafricaine seraient activement à la manœuvre, conformément à leur dernier communiqué de presse, aux fins de contraindre le gouvernement centrafricain à surseoir à cette démarche.
Affaire à suivre …. !
La rédaction