
CÉLESTIN NGAIZO BALALOU APPELLE A UN SOULÈVEMENT POPULAIRE CONTRE LE RÉGIME DES BRAQUEURS DE FAUSTIN ARCHANGE TOUADERA
Le projet de loi de modification de la constitution initié par la Cour Constitutionnelle dirigée par Mme Danièle Darlan qui a pris l’initiative de rédiger ce projet de loi en violation de la constitution et de la modifier pour prolonger le mandat de Touadera et celui des Députés corrompus de l’Assemblée nationale, n’est plus qu’un acte d’une extrême gravité devant interpeller tous les Centrafricains de l’Est à l’Ouest du Nord au Sud pour un soulèvement populaire contre cette forfaitaire et ce crime de haute trahison contre le peuple et la République.
L’heure est donc plus que grave. Pour ce faire, le temps est venu pour toutes les forces vives de la nation de se lever comme un seul homme pour prendre d’assaut l’Assemblée nationale, la Primature, et la Présidence de la République, car toucher à la Constitution pour des raisons farfelues n’est rien qu’un vrai raccourci pour Touadéra, rassuré de son impopularité et convaincu de son cuisant échec aux prochaines élections, aux seules fins de se maintenir au pouvoir avec tout les lascars et autres voleurs des fonds publics, histoire de ne pas avoir à rendre compte de sa gestion calamiteuse.
J’appelle, par conséquent, les partis politiques, les syndicats, la Société Civile, les Confessions religieuses, les Élèves et Étudiants à s’unir pour défendre notre constitution. Nous ne pouvons plus rester silencieux et laisser cet énergumène très assoiffé du pouvoir continuer de faire preuve d’inconscience avérée à la tête de notre pays. Levons nous tous pour sauver les acquis de la République comme les Burkinabè, les Guinéens, les Béninois qui n’ont jamais toléré la modification de leur Constitution.
C’est la seule manière citoyenne, républicaine, légale et légitime pour les Centrafricains de prouver à Touadéra qu’ils ont tous des couilles, qu’il n’a jamais gagné les élections en 2016 et que de ce fait il n’a pas le droit de tripatouiller la Constitution comme bon lui semble, selon ses humeurs et ses petits, égoïstes et bas intérêts, en se servant du nom des Centrafricains et de la République, en les livrant à la merci des mercenaires et en marchant tous les jours sur leurs cadavres.
CÉLESTIN NGAIZO BALALOU