
C’est à l’aéroport international Bangui – Mpoko dans la matinée du jeudi 04 avril 2019, en partance à #Doha, au #QATAR, via #Nairobi (#KENYA), pour participer à la 140è Assemblée Générale de l’Union Internationale des Parlementaires que le tout – puissant président de l’assemblée nationale Laurent Ngon Baba aux ordres du pouvoir de Bangui a apposé sa signature au bas de l’arrêté portant nomination ou confirmation des personnalités à divers postes de responsabilité dans son cabinet.
Mais au moment de passer à l’acte, il reçoit un coup de téléphone de M.Augustin Yangana-Yahoté, ci – devant député de la 2ème circonscription du 4ème arrondissement et président du groupe parlementaire de l’UNDP, actuellement ministre en charge de l’administration du territoire, par acte de cooptation ou de débauchage et pur koudoufarisme, c’est – à – dire sans l’avis préalable de l’UNDP, de la coordination des experts, et de la coordination nationale qui, à la demande d’un autre député de l’UNDP et sur son insistance, après avoir vérifié que leur proposition n’a pas été prise en compte dans le document final, lui siffle dans les oreilles des mots inaudibles. Ne sachant que faire, et après s’être rendu compte lui aussi qu’il n’en a pas tenu ou qu’il l’a oubliée, il demandera à son interlocuteur de dire au ministre de bien vouloir attendre son retour.
De quelle proposition, s’agit – il ? Qui l’a faite au nom et pour le compte de l’UNDP ? Ne constitue -t – elle pas encore un autre cas de débauchage, de cooptation et de Koudoufarisme,en sus des affaires Leffa, Amara et Yangana ? Comment le président de l’assemblée nationale qui est censé avoir du respect vis – à – vis des leaders de tous les partis politiques qui siègent à la représentation nationale, puisse afficher un tel comportement frisant un total mépris à l’endroit du président de l’UNDP, première force politique du pays, de ses cadres et de ses militants ? N’est – ce pas là une fois de plus la preuve de sa soumission douillette aux pouvoirs de Bangui qui utilise le groupe parlementaire de l’UNDP et ses 14 députés, mais mène une farouche lutte politique d’exclusion contre ses cadres et ses experts et fait traquer son 3ème vice – président en charge de la communication depuis le 1er octobre 2018 ?
Affaire à suivre…..
La rédaction